Les dirigeants palestiniens, qui attirent depuis des années la sympathie du monde entier en se dépeignant comme des réfugiés victimes du gouvernement israélien, ont refusé l’asile à ces mêmes réfugiés.
150.000 Palestiniens habitant dans le camp de réfugiés Yarmouk, à la périphérie de Damas ont dû fuir leur maison à cause des bombardements de l’armée syrienne. Sans abris et sans ressources, ils doivent se protéger des bombes et des températures hivernales particulièrement rudes cette année.
Les Nations Unies ont introduit une requête spéciale au président de l’Autorité Palestinienne ainsi qu’à Ismail Haniyeh, représentant du régime du Hamas à Gaza afin de permettre à ces Palestiniens de pouvoir y “trouver refuge”.
Les dirigeants palestiniens, pour des raisons idéologiques et financières assurent-ils, refusent de les accueillir. L’argent et la politique semblent être pour eux bien plus importants.
En attendant, un camp entier de réfugiés attend à la frontière de la Syrie que l’Autorité Palestinienne et le Hamas, censés être les premiers à secourir leurs frères palestiniens, daigne bien vouloir leur accorder asile.
Cette absurdité, loin d’être la première du genre, prouve une fois de plus que les dirigeants palestiniens ont en tête des idéaux bien moins nobles que celui de se préoccuper du sort de son propre peuple.
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