Le différend entre Bar Refaeli et l’homme d’affaires Ilan Ben-Dov de Suny Electronics devrait atteindre son apogée jeudi lorsque les deux protagonistes se retrouveront au tribunal.

L’affaire a débuté en 2006, lorsque Refaeli faisait campagne pour la marque de téléphones mobiles Samsung.

Trois ans plus tard, Refaeli poursuivait Ben Dov et réclamait 1,38 millions de dollars, la belle israélienne accuse l’homme d’affaires d’avoir violé les termes du contrat de publicité en publiant une vidéo sur le web sans son consentement et d’avoir utilisé de manière illégale une photo d”elle pour un événement promotionnel.

Suny a quant a lui réclamé 550 000 dollars et accuse le top modèle d’avoir fait échouer sa campagne.

«Je suis un modèle très demandé»

La principale question qui oppose Bar et l’homme d’affaires est de savoir si Suny avait l’autorisation de diffuser les séquences en question pour de la publicité au cinéma.

Refaeli et sa mère sont catégoriques et affirment que le contrat précise qu’il s’agit d’une publicité pour la télévision et réservée a quelques chaines mais en aucun cas pour le cinéma

Afin de prouver sa bonne foi, Refaeli a soumis quatre de ses contrats de travail, dont chacun comprend des exclusivités pour des chaines de télévisons.

“La Publicité au cinéma est considéré comme une forme complémentaire de la publicité pour le grand public et des médias populaires”, réplique Dov

Refaeli lui répond : “Je ne lui ai donné mon consentement pour faire de la publicité dans les cinémas … ces publicité coutent très chers, en particulier pour les modèles de mon calibre, et en toute modestie – je suis considéré comme un modèle important et très demandée a l’échelle internationale.

«Je suis payé cher pour mon travail … je n’aurais jamais accepté d’avoir un de mes spots projetés dans les cinémas pour 2.500 $.”

Ynet – Adaptation CoolIsrael