Universités israéliennes : un prix pour le vivre ensemble

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Un concours national organisé par cinq grandes universités israéliennes a été lancé par la Fondation Arditi jeudi 30 octobre dernier. Les universités participant à la compétition sont l’Université de Tel Aviv, Bar Ilan, l’Université Ben-Gourion, l’Université de Haïfa et l’Université hébraïque de Jérusalem.

Les présentations sont des œuvres de fiction dramatique d’environ 2500 mots, soit une nouvelle ou une pièce de théâtre, traitant d’un des thèmes majeurs de la société israélienne : Juifs et arabes en Israël.

La date de la présentation finale du concours est le 1er mars 2015.

Le concours est ouvert à tous les étudiants de premier cycle, deuxième cycles, doctorat et post-doctorat inscrits dans ces universités.

Le travail sera une fiction dramatique d’environ 2500 mots, soit une nouvelle ou une pièce de théâtre, traitant d’un des thèmes majeurs de la société israélienne : Juifs et arabes en Israël.

La règle de base à suivre pour les candidats sera de se mettre dans les chaussures de l’autre. La qualité littéraire et l’originalité des histoires, seront un critère important pour évaluer les œuvres en compétition.

Les trois meilleurs travaux de chaque université obtiendront des bourses de 2 000, 3 000 et 5 000 dollars. La Fondation publiera les quinze meilleures œuvres.

Les meilleures histoires dramatiques seront soumises par chaque université puis traduites en anglais et présentées à un jury international. Le gagnant choisi par ce jury recevra une indemnité supplémentaire de 10000 Dollars.

Le prix sera alors accordé lors d’une cérémonie le 15 juin 2015 à 18:00 à la salle de Justice, de la faculté de Droit de l’Université de Tel-Aviv.

D’après le Professeur Raanan Rein, Vice Président de l’Université de Tel Aviv qui coordonne le concours : “Un grand Institut de recherche comme celui de l’Université de Tel-Aviv a aussi bien une culture et une obligation sociale”. Cette concurrence va exprimer le caractère pluraliste de l’université et mettre l’accent sur la nécessité d’une reconnaissance de « l’autre ».

Un citoyen suisse d’origine turque-sépharade, Metin Arditi vit à Genève. Il est le chef et le fondateur de la Fondation Arditi ; Il est un auteur réputé et un philanthrope. En 2012, il est nommé ambassadeur de bonne volonté par l’UNESCO, et en 2014 l’UNESCO l’a nommé envoyé spécial pour le Dialogue interculturel.


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