Israël : La situation alarmante des enfants

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Un million d’Israéliens vient sous les bombardements incessants du Hamas de la bande de Gaza. Israël s’est retiré de la bande de Gaza il y a 7 ans mais ses citoyens, dont 317 000 enfants, continuent à vivre sous les tirs quotidiens de roquettes depuis 12 ans.

En réponse aux attaques de roquettes continus de la bande de Gaza, une opération militaire a été lancé pour mettre fin à cette inacceptable réalité.

Plus de 1100 roquettes ont été tirées sur Israël depuis le samedi 10 novembre, visant la population israélienne du centre du pays. Plus de 900 roquettes ont été tirées vers les civils israéliens depuis le début de l’opération Pilier de Défense (14 novembre 2012).

•15 novembre : une femme enceinte et l’enfant qu’elle portait furent tués. Son mari et 3 mineurs furent blessés.

• 15 Novembre : une femme enceinte et l’enfant qu’elle transportait ont été tués. Son mari et 3 enfants mineurs ont été blessés.

• 15 Novembre : un bébé de 8 mois a été blessé et son père a été tué, laissant le bébé et 2 frères et sœurs sans leurs parents.

• 15 Novembre : les ambulanciers israéliens hospitalisent 10 enfants blessés par des éclats.

• 15 Novembre : une roquette est tombée près d’une école à Beer Tuvya

• 16 Novembre : une roquette a explosé dans le parking d’une école d’Ashkelon

• 18 Novembre : une roquette est tombée près d’une école maternelle aussi à Ashkelon

• 19 Novembre : une roquette a explosé dans une Cour ‘une école à Ashkelon

• 19 Novembre : une roquette frappe une salle de classe à Ashkelon

• 20 Novembre : une roquette heurte une Ecole de Shaar HaNegev

Depuis cette opération, les écoles se situant dans un rayon de 40 km de la bande de Gaza ont été fermées, forçant 317 000 enfants à rester à la maison dans les abris.

Au cours de la menace de roquettes quotidiens depuis 12 ans, 1 000 enfants israéliens de Sdérot et ses environs ont été touchés de diverses façons. Ils subissent un préjudice physique, mental et émotionnel.

Un rapport de recherche publié par la Coalition Israël du traumatisme (ITC) en juin 2012, a constaté que :

• 6 enfants israéliens de Sdérot et ses environs, entre 10 et 18 ans, ont été diagnostiqués comme souffrant d’un trouble de stress post-traumatique (SSPT).

Ils souffrent d’un traumatisme dur, de haut niveau et chronique, qui les empêche de vivre normalement et qui nécessite un traitement de longue durée.

• 27 enfants israéliens de Sdérot et ses environs, entre 10 et 18 ans, ont été diagnostiqués comme souffrant de symptômes de stress post-traumatique. Ils souffrent de problèmes de sommeil, concentration, sont dans un état constant de stress, ils ne se sentent pas en sécurité dans leur propre maison et ils sont profondément influencés par l’entourage des adultes anxieux.

• Une étude de 2008 par le Centre israélien pour les victimes de la terreur et de guerre, de NATAL, a constaté qu’entre 75% et 94% des enfants de Sderot âgés entre 4 et 18 ans présentent des symptômes de stress post-traumatique.

Le Docteur Rony Berger, qui a mené l’étude, a insisté sur la distinction entre les symptômes de stress post-traumatique, tels que les problèmes de sommeil et la concentration et le SSPT lui-même, qui peut perturber gravement la vie quotidienne.

Berger, dit que l’étude a révélé que des enfants d’âge scolaire avaient des symptômes graves d’anxiété et a souligné une corrélation entre le parent et l’enfant anxieux.

Plus de 1 000 enfants continuent de souffrir des conséquences des menaces quotidiennes des roquettes et des attentats à la bombe depuis 12 ans maintenant.

316 000 enfants supplémentaires se sont ajoutés à cette situation menaçante depuis le 14 novembre 2012.

Malkiel Chen, une étudiante de 4ème année à l’école, a accueillis le Président Peres à Sderot et a décrit la vie quotidienne des enfants. Chen a dit au Président, que nous sommes nés et sont définis comme “code rouge enfants”. Nous sommes les enfants qui vivons dans la peur et l’anxiété qui, à tout moment, lorsque nous entendons la sirène code rouge, nous quittons nos jeux, nos amis pour rejoindre les chambres sécuritaires, quatre murs, sans fenêtres qui sont vraiment horribles. Chen a remercié le Président d’être venus et dit : je vous remercie d’être venus. Nos yeux sont sur vous, Monsieur le Président, en espérant que vous ferez quelque chose de sorte que tout redevienne paisible, calme, sûr et amusant. Quand elle a fini de parler, Chen a pris la main du Président, pour lui

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