Pendant trois ans, des étudiants ont ainsi arpenté Israël à la recherche de grappes sauvages. Problème : lors de la domination musulmane de la région, l’alcool a été interdit pendant plusieurs siècles. De nombreuses variétés de raisins ont alors disparu. L’équipe de Elyashiv Drori a néanmoins mis la main sur une centaine de variétés différentes, dont une dizaine peuvent servir à fabriquer du vin.
Elyashiv Drori va maintenant les comparer à de vieilles grappes fossilisées retrouvées lors de fouilles archéologiques. Son but n’est pas seulement historique. Il entend bien commercialiser un cru “biblique”. “Si on peut faire un vin israélien que l’on trouve nulle part ailleurs et qui en plus possède une connexion historique, c’est très intéressant”, dit celui qui est aussi juge dans des compétitions internationales de vin. L’homme est-il sur le point de transformer le vin en or ?
Via LCI
Commenter cet article
commentaires jusqu'à présent. Ajouter le votre