Les derniers modèles de Maserati et Ferrari sont pour la première fois présentés aux amateurs argentés du marché israélien dans un luxueux complexe commercial de Tel-Aviv qui a ouvert ses portes cette semaine, rapportent vendredi les médias israéliens.
Ce complexe, qui comporte notamment un “showroom” (espace d’exposition) d’une surface de 2.000 m2, un café et un musée réunissant des modèles de légende des prestigieux constructeurs italiens a été inauguré jeudi.
Selon le quotidien économique israélien Globes, citant des sources automobiles, une vingtaine de bolides italiens ont déjà été commandés et la liste d’attente s’allonge.
La Maserati Gt, modèle le moins coûteux de la marque, est vendue près d’un million de shekels (181.500 euros).
Chez son concurrent, le premier prix est de 1,63 M shekels (328.350 euros) pour une Ferrari California, et il faut débourser 2,36 M shekels (475.400 euros) pour le coupé Ferrari FF.
Paradoxalement, la vitesse maximale autorisée sur pratiquement tout le réseau routier israélien est limitée à 110 km/h.
Israël est le pays le plus pauvre de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) et les écarts de revenus y sont les plus criants, selon un récent rapport.
Le salaire minimum mensuel garanti atteint 4.100 shekels (800 euros). Israël a connu l’été dernier un vaste mouvement social contre la vie chère et l’injustice sociale.
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